À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658, note 10.
Note [10]

« étant donné que, par le vent de la nouveauté, qui plaît tant aux malades misérables et ignorants, ils peuvent leurrer et abuser quiconque pour faire fortune, honnêtement, ou sinon par quelque moyen que ce soit [Horace, v. note [20], lettre 181]. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658, note 10.

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(Consulté le 20/04/2024)

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