À Johann Georg Volckamer, le 10 janvier 1659, note 10.
Note [10]

Au sens strict, les simoniaques sont des trafiquants vénaux de choses sacrées (v. note [10], lettre de Charles Spon, datée du 28 août 1657) ; mais Guy Patin l’étendait ici à tous les corrupteurs des mœurs, tant religieux que profanes, ce qui, dans son humeur ordinaire (imbibée de jansénisme, voire de calvinisme), qualifiait les jésuites et les libertins.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 10 janvier 1659, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1146&cln=10

(Consulté le 24/04/2024)

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