Note [10] |
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« et forgent d’un coin trop connu des vers grossiers » (Juvénal, v. note [7], lettre 926). Guy Patin méprisait les Consilia medicinalia [Consultations médicales] de Cesare Mocca (Turin, 1620, v. note [4], lettre 596). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Georg Friedrich Lorenz, le 18 février 1666, note 10.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1425&cln=10 (Consulté le 10/12/2024) |