À Samuel Sorbière, le 20 juillet 1646, note 10.
Note [10]

Fidèlement traduite, cette curieuse phrase veut expliquer que Guy Patin entendait l’amitié comme un échange de services rendus, sans crainte de requêtes insistantes, voire harcelantes ; et ce tout particulièrement, bien sûr, pour la fourniture d’ouvrages imprimés, comme l’illustre la suite de son propos.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Samuel Sorbière, le 20 juillet 1646, note 10.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1512&cln=10

(Consulté le 23/04/2024)

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