À Charles Spon, le 5 novembre 1649, note 11.
Note [11]

Tallemant des Réaux (Historiettes, tome i, page 42‑43) a répandu la même médisance sur le cardinal Duperron :

« Il rapporta la vérole de Rome et en mourut. En mourant, il ne voulut jamais dire autre chose, quand il prit l’hostie, sinon qu’il la prenait comme les apôtres l’avaient prise.*

* Ce fut lui qui dit, quand la reine mère {a} au bac à Neuilly, prit par où vous savez M. de la Chastagneraye qui la sauva : “ Elle a raison, cette partie-là ne va jamais au fond. ” » {b}


  1. Marie de Médicis.

  2. « Il n’est pas malaisé de deviner que Patin, comme Tallemant, se borne à répéter ce qui se disait chez les frères Dupuy, dans un milieu parfaitement informé de tout ce qui concernait le cardinal Duperron » (note d’Antoine Adam).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 novembre 1649, note 11.

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(Consulté le 23/04/2024)

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