À André Falconet, le 4 février 1650, note 11.
Note [11]

« Le beau savoir n’a plus d’espérance et de raison d’être qu’en cette princesse ; elle seule en effet, dans le siècle où nous sommes, a prêté intérêt aux Camènes affligées » ; adaptation à la reine de Suède des vers de Juvénal (Satire vii, vers 1‑3) :

Et spes et ratio studiorum in Cæsare tantum.
Solus enim tristes hac tempestate Camenas
 {a}
respexit
.


  1. Camenæ, les Camènes, assimilées aux Muses.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 4 février 1650, note 11.

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(Consulté le 19/04/2024)

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