À Charles Spon, le 3 octobre 1656, note 11.
Note [11]

« On dit que des gens sont heureux comme rats en paille, lorsqu’ils ont abondance de vivres et qu’ils les mangent en repos » (Furetière). L’expression était plus parlante que son équivalent d’à présent, « être comme un coq en pâte », c’est-à-dire un coq mis à la retraite, qu’on engraisse avec force pâtée, qu’on tient captif à cet effet pour le manger et qui, ayant tout à souhait et étant en repos, profite rapidement (Littré DLF).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 3 octobre 1656, note 11.

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(Consulté le 19/04/2024)

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