À Charles Spon, les 16 et 26 février 1657, note 11.
Note [11]

« autant de sa maladie que de ce poison. » V. note [2], lettre 461, pour une précédente évocation de la mort de Laure Mancini, duchesse de Mercœur, en termes fort similaires.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, les 16 et 26 février 1657, note 11.

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(Consulté le 20/04/2024)

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