À Charles Spon, le 8 juin 1657, note 11.
Note [11]

« et il avait l’esprit comme abattu par la crainte d’une mort très prochaine, ou qui n’était du moins guère lointaine ; en troisième lieu, il était tourmenté par son revenu qui avait très fortement diminué, ou qui plutôt même était devenu presque nul ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 8 juin 1657, note 11.

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(Consulté le 25/04/2024)

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