Note [11] |
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L’affaire des gardes corses (v. note [1], lettre 735) était encore en pleine ébullition. À titre de représailles, Avignon et le Comtat avaient été annexés par la France le 23 juillet (v. note [9], lettre 735). On pouvait donc encore redouter une déclaration de guerre. V. note [4], lettre latine 241, pour les pourparlers alors en cours |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 28 octobre 1663, note 11.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0759&cln=11 (Consulté le 09/09/2024) |