À André Falconet, le 30 mai 1664, note 11.
Note [11]

« car les traces qu’il laisse m’épouvantent » ; Horace (Épîtres, livre i, lettre 1, vers 74‑75, paroles du renard rusé au lion malade) :

Quia me vestigia terrent,
omnia te adversum spectantia, nulla retrorsum
.

[Parce que ces traces me font peur, toutes allant vers toi et aucune ne revenant].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 30 mai 1664, note 11.

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(Consulté le 04/10/2024)

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