Note [12] |
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« Un chien courtaud, celui à qui on a coupé la queue […]. On dit aussi, qu’on a étrillé quelqu’un en chien courtaud, qu’on l’a frotté en chien courtaud, pour dire, qu’il a été battu outrageusement » (Furetière). Jouant sur les mots, Guy Patin visait ici Siméon Courtaud, inspirateur, sinon auteur présumé de la Seconde Apologie (v. supra note [1]). Il annonçait à mots couverts le Cani miuro… de Charles Guillemeau (juin 1654, v. note [14], lettre 358). |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 11 juin 1654, note 12.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0354&cln=12 (Consulté le 01/06/2023) |