À Charles Spon, le 5 juin 1663, note 12.
Note [12]

Mot biffé sur le manuscrit (sans doute par la plume d’un précédent éditeur de la lettre).

Dans l’édition princeps des Lettres (Jacob Spon et Charles Patin, 1683), le long passage qui va de Non sic vivitur in urbibus, præsertim Parisiis… à « Il y a ici un médecin de Niort… », a été remplacé par ce moignon (page 348) :

« On ne vit pas comme cela dans les villes, et particulièrement à Paris. Je ne vois plus que de la vanité, de l’imposture et de la fourberie. Dieu nous a réservés pour un siècle fripon, et dangereux. Il y aura bientôt grande conséquence d’être homme de bien, tant la corruption de tant de sortes de gens est grande. » {a}


  1. Bulderen a suivi cette version mutilée, mais Reveillé-Parise a respecté le manuscrit (dont je n’ai pas identifié le transcripteur, v. supra note [a]), tout en châtrant ici le mot « infâmes ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 juin 1663, note 12.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0752&cln=12

(Consulté le 18/04/2024)

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