À Georg Friedrich Lorenz, le 18 février 1666, note 12.
Note [12]

« s’il respire l’air du jour ou s’il repose déjà au royaume des ombres » (Virgile, v. note [1], lettre de Charles Spon, datée du 6 avril 1657).

Melchior Polisius (Javer, Silésie 1600-Francfort-sur-l’Oder 1671), docteur en médecine de Padoue en 1628, professait la médecine à Francfort-sur-l’Oder depuis 1635. Il a laissé des thèses latines :

  • de gravissimo cordis Affectu syncope [sur une très grave Affection syncopale du cœur] (1642) ;

  • de Febre quartana [sur la Fièvre quarte] (1644) ;

  • de hypocondriaco Affectu [sur l’Hypocondrie] (1645) ;

  • de uteri Suffocatione [sur la Suffocation de l’utérus] (1650) ;

  • Ordo ac methodus recte diagnoscendi ac dextre curandi tartarum articulorum [Manière et méthode pour diagnostiquer correctement et bien traiter le tartre des articulations (la goutte)] (1668).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Georg Friedrich Lorenz, le 18 février 1666, note 12.

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(Consulté le 20/04/2024)

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