Note [12] |
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« Dans sa jeunesse, en raison d’une consommation immodérée de fruits à toute heure, il fut sujet aux maladies. Par la suite, quand il sut vraiment que l’art consiste à préserver la santé et dès lors qu’il s’y est appliqué, il a joui d’un corps en bonne santé. » C’est un résumé fidèle des confidences de Galien sur sa propre santé, qui se lisent à la fin du chapitre i de son livre De probis pravisque alimentorum succis [Des bons et mauvais sucs des aliments] (Kühn, volume 6, pages 756‑757). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Traité de la Conservation de santé (Guy Patin, 1632) : Chapitre II, note 12.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8169&cln=12 (Consulté le 03/12/2024) |