À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656, note 13.
Note [13]

« composés d’oxycrat {a} tiède, ou de l’urine refroidie du malade lui-même ; la saignée fait ici plus souvent la pluie et le beau temps, {b} plus encore si elle est répétée, en raison de la plénitude des vaisseaux, de la putréfaction, du rhumatisme, de la douleur, et surtout d’une sorte de virulence qui est coutumière dans cette maladie. »


  1. V. note [2], lettre 427.

  2. Pline l’Ancien parlant de la déesse Fortune, v. note [2], lettre 626.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656, note 13.

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(Consulté le 12/10/2024)

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