À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 13.
Note [13]

« et il a changé pour une sentence plus douce ». Mal bâtie, la fin de la phrase signifie sans doute que le président René Potier, sieur du (ou de) Blancmesnil, demandait qu’on poursuivît l’instruction.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 13.

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(Consulté le 19/04/2024)

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