À Charles Spon, le 5 juillet 1652, note 14.
Note [14]

« si tous les insensés se ruent sur les armes, alors la sagesse n’aura plus guère de défenseurs » (Barclay, Euphormion, v. note [47], lettre 156).

À cette citation finale près, le paragraphe forme (en abrégé) le début de la lettre datée du 5 juillet 1652 qu’on trouve dans les éditions Bulderen (lxx, à Charles Spon, tome i, 199‑201) et Reveillé-Parise (ccccvii, à André Falconet, tome iii, 5‑6). Complétée par d’autres passages de la présente lettre (phrase sur les princes qui ne savent à quel saint ils se voueront, paragraphe sur la mort de Vautier), elle a été, une fois de plus, fabriquée.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 juillet 1652, note 14.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0291&cln=14

(Consulté le 28/03/2024)

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