Note [14] |
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« On dit qu’on a eu un larron de marché lorsqu’on a acheté quelque chose de hasard, qu’on a eue à vil prix. On dit au contraire, quand on achète quelque chose trop cher ou sa juste valeur, qu’il ne faut point crier au larron [au voleur] » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 19 octobre 1660, note 14.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0645&cln=14 (Consulté le 19/09/2024) |