À André Falconet, le 15 août 1659, note 15.
Note [15]

« dont je crains qu’ils ne fassent les choux gras de la cruelle Libitina [v. note [3], lettre 532]. Je suis surtout effrayé par cette soif intense et ce dégoût total, dont les causes sont les plus souveraines et les plus violentes dans un corps épuisé, avec intempérie des viscères, qui n’est pas éloignée du marasme : ce sont autant de marches qu’on gravit une à une pour atteindre le repos éternel. »

J’ai préféré « l’automne » à « l’antimoine prochain », qu’on lit dans les précédentes éditions.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 15 août 1659, note 15.

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(Consulté le 19/04/2024)

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