À Charles Spon, le 17 août 1655, note 16.
Note [16]

« qui souffrait d’un déplorable mal, avec force grincements de dents et tremblements convulsifs de tout le corps, parce qu’on lui avait malencontreusement administré du mercure pour soigner une syphilis latente. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 17 août 1655, note 16.

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(Consulté le 20/04/2024)

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