À Charles Spon, le 7 juin 1649, note 17.
Note [17]

« Je n’envie point son bonheur, je m’en étonne plutôt » (Virgile, Bucoliques, églogue i, vers 11). V. précédentes lettres à Charles Spon et à André Falconet au sujet de cet imposteur qui avait voulu se faire passer auprès d’eux pour un fils de Guy Patin.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 7 juin 1649, note 17.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0180&cln=17

(Consulté le 20/04/2024)

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