Note [17] |
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« On dit qu’une chose porte coup lorsqu’elle fait quelque effet considérable, ou dont on tire quelque conséquence » (Furetière). La fille, bonne à marier, de Philippe iv était l’infante Marie-Thérèse (Maria Teresa de Austria), alors âgée de 20 ans. Après la naissance de Felipe-Prosper en 1657, celle d’un second héritier mâle levait toute prétention du futur gendre sur la Couronne d’Espagne. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 décembre 1658, note 17.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0547&cln=17 (Consulté le 01/06/2023) |