À Charles Spon, le 3 décembre 1658, note 17.
Note [17]

« On dit qu’une chose porte coup lorsqu’elle fait quelque effet considérable, ou dont on tire quelque conséquence » (Furetière). La fille, bonne à marier, de Philippe iv était l’infante Marie-Thérèse (Maria Teresa de Austria), alors âgée de 20 ans. Après la naissance de Felipe-Prosper en 1657, celle d’un second héritier mâle levait toute prétention du futur gendre sur la Couronne d’Espagne.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 3 décembre 1658, note 17.

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(Consulté le 16/04/2024)

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