Note [18] |
|
« Dans la fièvre quarte, qui provient presque toujours d’une humeur bilieuse en train de se putréfier et de donner de l’ardeur à la bile noire, on a besoin de lavements, d’émollients, de rafraîchissants, de détergents, de la saignée qu’il convient de répéter très souvent, à cause de l’intempérie existante, et pour éviter le squirre et l’hydropisie ; une alimentation frugale, nulle purgation au début de la maladie, qui en effet d’habitude envenime la situation ; pas non plus après le début, surtout jamais tant que ne sont pas apparus les signes de la coction. » |
Imprimer cette note |
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 1er février 1657, note 18.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0460&cln=18 (Consulté le 02/11/2024) |