Note [18] |
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« a des relents de Lipse, tout en lui étant de beaucoup inférieur ». Ce jugement de Guy Patin a été confirmé par la postérité : plus grand monde ne parle encore de Juste Lipse, et presque plus personne du P. Théophile Raynaud ; à leur décharge, tous deux ont tout écrit en latin, et faute d’avoir été traduits, leurs ouvrages présentent aujourd’hui fort peu d’attrait. Le déclin du latin a plongé dans un injuste oubli la plus grande partie de la littérature savante du xvie et du xviie s. |
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 27 avril 1660. Note 18
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