Note [18] |
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« de par le droit antique et ancestral qui établit une totale communauté de sentiments [xumpatheia panta] entre prélats, grands du royaume et médecins. » Par ce précepte (auquel je n’ai pas trouvé de source), Guy Patin justifiait le déni quasi absolu du secret médical qui meuble toute sa correspondance. V. note [8], lettre 863, pour la mort de la maréchale de Turenne, Charlotte de Caumont de La Force. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 4 mai 1663, note 18.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0748&cln=18 (Consulté le 18/04/2024) |