Note [19] |
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« surtout après le troisième mois, quand le fœtus est solidement accroché, si certaines impuretés s’écoulent par la plénitude de la première région ; {a} mais à cette fin les médicaments puissants sont à éviter, et l’affaire doit être menée à bonne fin avec peu de feuilles et de la moelle de séné dissoute ; et même le cas échéant, il faudra employer un peu de rhubarbe pour ménager la force. Je donnerai en exemple ce qui convient pour une femme qui n’est ni parfaitement vigoureuse ni très affaiblie ».
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Correspondance complète et autres écrits de Guy Patin, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 31 octobre 1656, note 19.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0449&cln=19 (Consulté le 04/06/2023) |