À Charles Spon, le 11 janvier 1650, note 2.
Note [2]

La paix du 5 janvier (v. note [22], lettre 210) n’allait pas apaiser le gouverneur de Guyenne qui digéra fort mal son échec devant le parlement et la ville de Bordeaux.

Dubuisson-Aubenay (Journal des guerres civiles, tome i, page 200, mercredi 12 janvier 1650) :

« Grand bruit de l’affaire de Bordeaux, comme le duc d’Épernon n’avait pas gardé de bonne foi la déclaration du roi ; et qu’en préjudice d’elle, il avait brûlé les maisons des Bordelais et fait insulte aux voisinages et environs de la ville, dont il aurait été repoussé avec perte grande de ses hommes ».

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 11 janvier 1650, note 2.

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(Consulté le 24/04/2024)

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