À Charles Spon, le 18 novembre 1650, note 2.
Note [2]

« Avec ce décanat, je sens qu’une pénible charge m’est placée sur les épaules, et un très cruel fardeau. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 novembre 1650, note 2.

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(Consulté le 25/04/2024)

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