À Charles Spon, le 10 juin 1653, note 2.
Note [2]

Le parallèle ironique de Guy Patin s’entend par le fait qu’il considérait que la saignée, apanage du chirurgien (sa marchandise), était le remède de la syphilis (vérole, son mal), contre laquelle il considérait les médicaments d’alors (mercure sudorifique) comme inopérants.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 10 juin 1653, note 2.

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(Consulté le 25/04/2024)

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