Note [2] |
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« dont les regards se sont gorgés du ciel aventin, et qui favorisent la phalange loyolitique. » ; Juvénal, Satire iii, vers 84‑85 (pour répondre à l’arrogance des Grecs envers les Romains) : Usque adeo nihil est, quod nostra infantia cælum |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 22 février 1656, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0433&cln=2 (Consulté le 09/09/2024) |