À André Falconet, le 23 janvier 1660, note 2.
Note [2]

« pas d’amour de l’argent, pas de commerce, pas de superstition, etc., et telles choses qui en effet ne sont pas convenables pour un médecin » ; Hippocrate, De la Bienséance (Περι Ευσχημοσυνης), § 5 : {a}

« Le médecin philosophe est égal aux dieux. Il n’y a guère de différence entre la philosophie et la médecine ; tout ce qui est de la première se trouve dans la seconde : désintéressement, {b} réserve, pudeur, modestie du vêtement, opinion, jugement, tranquillité, fermeté dans les rencontres, propreté, manière sentencieuse, connaissance de ce qui est utile et nécessaire dans la vie, rejet de l’impureté, {c} affranchissement de la superstition, {d} prééminence divine ».


  1. Littré Hip, volume 9, pages 233‑235.

  2. αφιλαργυριη.

  3. ακαθαρσιης απεμπολησις.

  4. αδεισιδαιμονιν.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 23 janvier 1660, note 2.

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(Consulté le 25/04/2024)

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