À André Falconet, le 5 février 1664, note 2.
Note [2]

Les pièces dont Nicolas Fouquet avait demandé la communication pour organiser sa défense se trouvaient au sein de l’amas des plus de 60 000 qu’on avait saisies. Le 3 février, ne pouvant lui refuser ce qu’il réclamait, la Cour décida qu’on rechercherait les pièces qu’il désirait et qu’on ne produirait contre lui que celles qu’il aurait étudiées. Ce délai légitimement accordé était une belle victoire pour Fouquet qui lui permettait de mieux préparer son procès avec ses avocats (Petitfils c, page 403).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 5 février 1664, note 2.

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(Consulté le 23/04/2024)

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