Note [2] |
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« à cause du si grand nombre de gonorrhées [chaudes-pisses] et de bubons vénériens [v. note [5], lettre 482] mal soignés qui fleurissent ici. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 12 mai 1670, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0982&cln=2 (Consulté le 24/04/2024) |