À André Falconet, le 12 mai 1670, note 2.
Note [2]

« à cause du si grand nombre de gonorrhées [chaudes-pisses] et de bubons vénériens [v. note [5], lettre 482] mal soignés qui fleurissent ici. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 12 mai 1670, note 2.

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(Consulté le 24/04/2024)

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