À Johann Georg Volckamer, le 8 février 1662, note 2.
Note [2]

J’ai établi une opposition (« Quoique… ») dans ma traduction de la phrase parce que cette survivance de Jean ii Riolan avait été décidée en 1654 (v. note [29], lettre 372), et que Guy Patin en avait bien sûr déjà dûment avisé Johann Georg Volckamer (lettre du 5 mars 1655, v. sa note [6]) et l’avait depuis régulièrement entretenu de ses leçons royales.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 8 février 1662, note 2.

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(Consulté le 20/04/2024)

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