À Johann Georg Volckamer, le 16 mai 1664, note 2.
Note [2]

Johann Michael Dilherr, alors âgé de 60 ans, en vécut encore cinq.

La Correspondance n’en apprend pas plus sur la nature de sa maladie, non plus que le traitement employé pour la soigner : afin de rétablir l’intempérie (équilibre perturbé des humeurs), la saignée, la purgation et le demi-bain étaient les prescriptions quasi universelles (passe-partout) des médecins dogmatiques, opposées aux remèdes chimiques des empiriques (même si, en Allemagne, elles avaient pu faire partie des generalia remedia [remèdes généraux] préalablement administrés).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Johann Georg Volckamer, le 16 mai 1664, note 2.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=1328&cln=2

(Consulté le 29/03/2024)

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