Note [2] |
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Charles Patin se référait à la courte Œuvre morale de Plutarque intitulée Ει καλλος ειρηται το Λαθε βιοσας [S’il est vrai qu’il faut vivre caché]. Les mots qu’il emploie pour en parler renvoient aux Opuscula varia édités par Henri Estienne (Paris, v. note [22] de la Thèse sur la Sobriété). Elle y figure sous le titre de : Plutarchi, num recte dictum sit Λαθε βιοσας, id est, Sic vive ut nemo te sentiat vixisse, Erasmo Roterodamo interprete [Plutarque, S’il est vrai qu’il faut vivre caché, c’est-à-dire vivre en sorte que personne ne se rende compte qu’il a vécu, dans la traduction d’Érasme de Rotterdam] (tome 3, pages 504‑509). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Autobiographie de Charles Patin (Lyceum Patavinum, 1682), note 2. Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=8226&cln=2 (Consulté le 12/10/2024) |