De Claude II Belin, le 18 février 1657, note 2.
Note [2]

« ce que Dieu veuille épargner à cette république, qui restera paisible et tranquille aussi longtemps qu’elle sera inaccessible à la troupe loyolitique. »

« On dit d’un affront sanglant qu’on a reçu, que c’est une tache d’huile, qu’elle ne s’en va jamais » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Claude II Belin, le 18 février 1657, note 2.

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(Consulté le 24/04/2024)

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