À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 20.
Note [20]

« Quelle infortune pour vous, ô livres qui avez disparu si malencontreusement, si misérablement ! » ; vers non trouvé dans Martial, ni ailleurs.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 20.

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(Consulté le 16/04/2024)

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