À Charles Spon, le 5 février 1655, note 20.
Note [20]

« Il ne faut pas réveiller le chat qui dort pour dire qu’il faut laisser en repos ceux qui nous peuvent faire du mal » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 février 1655, note 20.

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(Consulté le 19/04/2024)

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