À Charles Spon, le 6 mars 1657, note 20.
Note [20]

« d’un certain catarrhe épidémique due à l’écoulement d’une sérosité maligne venue du cerveau, qui descend doucement et insensiblement vers la gorge. Chez quelques-uns même, elle s’insinue jusqu’au poumon et provoque une toux pénible. Le plus grand et le plus salutaire de tous les remèdes en est la saignée, qui permet de retirer des veines la pure pourriture qui s’y tient. Je n’ai eu entre les mains personne que ce moyen n’ait tiré d’affaire. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 mars 1657, note 20.

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(Consulté le 20/04/2024)

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