Note [24] | |
« et c’est le meilleur de tous. » Les pilules de Francfort n’étaient qu’une forme particulière de pilules laxatives ou purgatives (v. notule {a}, note [37], sur la triade 67 du Borboniana manuscrit, pour ce qu’on entendait alors exactement par le mot pilule). Nicolas Lemery a ainsi définies dans sa Pharmacopée universelle, contenant toutes les compositions de pharmacie… (Paris, Laurent d’Houry, 1716, in‑4o, 2e édition), dans le paragraphe intitulé Pilules propres à prendre avant le repas, autrement dites stomachiques, de Mésué (page 446), dont le principe actif principal était l’aloès (v. note [8], lettre 169) : « Elles purgent, et ensuite elles fortifient l’estomac ; elles excitent les mois des femmes. {a} La dose en est depuis demi-scrupule jusqu’à une dragme. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 25 novembre 1653, note 24.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0332&cln=24 (Consulté le 10/09/2024) |