À Charles Spon, le 1er décembre 1654, note 25.
Note [25]

« par la seule et unique saignée, le poumon peut se vider et se libérer d’un si grand infarcissement, et de l’afflux d’une si grande quantité de sang. »

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er décembre 1654, note 25.

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(Consulté le 25/04/2024)

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