À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 26.
Note [26]

« Pareille félicité ne nous est pas coutumière [v. note [30], lettre 293]. Vale, puisque vous êtes digne de vous bien porter. »

Du temps de Guy Patin, il n’est jamais arrivé qu’un doyen n’ait pas été continué pour une seconde année dans sa charge : contrairement à l’élection, la prolongation n’était qu’une formalité (v. le début des Actes de la Faculté de médecine de Paris dans les Commentaires de 1651‑1652 pour celle de Patin).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 3 novembre 1651, note 26.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0271&cln=26

(Consulté le 13/10/2024)

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