À Charles Spon, le 6 novembre 1657, note 26.
Note [26]

« On dit tenir le bon bout de son côté, pour dire conserver toujours l’avantage de la possession de quelque chose ; et qu’un autre ne l’aura que par le bon bout, pour dire après avoir bien plaidé et contesté » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 6 novembre 1657, note 26.

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(Consulté le 19/04/2024)

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