De Jan van Beverwijk, le 30 juillet 1640, note 28.
Note [28]

Pause prosaïque dans une envolée lyrico-médicale dont l’érudition et la sagacité laissent aujourd’hui pantois, tout comme la traduction de Charles Nisard (page 22) :

« Maintenant, grâce au bon vin du Rhin, dont il est marchand, il fait disparaître les dernières traces de ce qui lui causait de si terribles inquiétudes. » {a}


  1. Texte latin de la lettre :

    bono suo fato discrimen evasit, et nunc Rhenano Liberi patris flore, cujus mercator est, reliquas deformis ægrimoniæ maculas absterget.


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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – De Jan van Beverwijk, le 30 juillet 1640, note 28.

Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=9061&cln=28

(Consulté le 29/03/2024)

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