À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 3.
Note [3]

« n’est rien d’autre qu’une accumulation extrêmement corrompue d’une abondance de matières épaisses et sales, dans laquelle et de laquelle sortent les pustules, comme si les symptômes augmentaient la force et la perniciosité de la maladie » : pour Guy Patin, il convenait donc de respecter la fièvre qui traduit un bon mouvement de la Nature, c’est-à-dire l’annonce d’une crise salutaire, marquée par la survenue de l’éruption.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 18 janvier 1644, note 3.

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(Consulté le 25/04/2024)

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