À Charles Spon, le 1er novembre 1652, note 3.
Note [3]

« Un cheval est tendre aux mouches pour dire qu’il les souffre impatiemment » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er novembre 1652, note 3.

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(Consulté le 19/04/2024)

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