Note [3] | |
En mars et août 1650, Jacques Guyonnet de La Mothe avait été un des députés du parlement de Bordeaux auprès de celui de Paris pour se plaindre des mauvais traitements que le duc d’Épernon et le cardinal Mazarin faisaient endurer à la Guyenne (Dubuisson-Aubenay, Journal des guerres civiles, tome i, pages 239 et 298). Paul ii Scarron a parlé de lui dans une lettre à M. Sarrazin, parlant de l’amour que son correspondant éprouvait pour une Bordelaise, nommée Mlle de Viger (Les Dernières œuvres de Monsieur Scarron… Lyon, Claude de La Roche, 1697, in‑8o, tome premier, page 8) :
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 13 juillet 1655, note 3.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0406&cln=3 (Consulté le 20/04/2024) |