À André Falconet, le 13 octobre 1665, note 3.
Note [3]

« ce sont en effet des vauriens sans aucun aveu et des grippe-sous sans nulle vergogne, de misérables ardélions {a} faiseurs de sirops {b} et de julep. » {c}


  1. V. note [3], lettre 105.

  2. V. note [7], lettre 381.

  3. V. note [7], lettre 135.

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À André Falconet, le 13 octobre 1665, note 3.

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(Consulté le 18/04/2024)

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